La soif de sang [libre]

LA soif de sang est vraiment une des pires choses de ma vie. Surtout aujourd’hui, dans un lycée remplit d’humains, de lycéens en plus, ceux dont le sang est le meilleur. Ma gorge me brulait, mais je ne devais pas les attaqué. Leur lycée et le notre étaient en bon terme, cela devait continuer. J’avais rendez vous avec le proviseur, et avait donc troqué ma tenue de cuir habituelle contre une chemise très 18éme et un pantalon de satin. Mon flingue était quand même dans ma poche, jamais je ne quitterai mes armes, les Killeurs voulaient ma mort, et moi la leur. J’étais donc dans les couloirs pour le moment, et les humains sentaient bien que j’étais dangereuse, rien quand voyant mon visage plus pâle que la mort, mes yeux sombres comme des puits de noirceurs et ma maigreur. J’étais belle, sans aucuns doutes, mais sanguinaire.

Une odeur me heurta de plein fouet. Une petite humaine blonde venait de passer devant un ventilateur, et son odeur merveilleuse avait prit possession de mes narines. NE PAS ATTAQUEZ ! Je quittai tellement vite le couloir, que les yeux de ses pauvres petits mortels ne me virent pas, et arriva dans les toilettes. Une fois là bas, je regardai mon reflet dans les miroirs. Mes prunelles étaient devenue bleu, de se bleu vampirique du combat et de la soif. Mes crocs avaient poussés. Concentration. Vite !!!

Je me retournai brusquement en sentant l'odeur de la nouvelle venue. Du sang. Mes mains se crispèrent sur le lavabot et un bruit de craquement apparu. Les humains normaux connaisaient l'exsistence des vampires, se qui ne les empechait pas d'avoir peur de nous. Je me retournai de la vitesse vampirique que l'on connaissait si bien. Mes prunelles d'un tel bleu qu'elles en devenaient presque éblouissante. La soif ! Ma gorge me brulait, mais je devais garder le control. Un grognement sauvage de félin sortit de ma gorge et je regardai la jeune fille, sombre.

-N'approchez pas !

Je retenais ma respiration, en lute avec moi meme. Je voulais sentir son sang couler dans ma gorge, j'en avais le pouvoir, il n'y avait personne. Mais si je perdais le control maintenant, se serait à vie. Les cours que je donnais à mes élèves, j'étais incapable de les appliquer ? NON !

Je sentais la façon dont-elle me regardait. Hautaine, froide. Cette fille me dégoutait. Toute idée de boire son sang disparut. Je sondais cette fillette plus profondément, elle nous prenait pour des hypocrites et estimait que j’avais bien mérité se qu’il m’arrivait. Très bien. La soif se reflua dans un coin de mes pensées, et mes yeux reprirent leurs couleurs noires habituelles pendant que mes crocs se rétractaient

-Je peux... vous aidez peut-être ?

Un sourire carnassier apparut sur mes lèvres, je n’allais pas l’attaquer, mais je savais que les mots fessaient beaucoup plus mal que les coups. Je la regardai donc fixement, la colère grimpait. Elle n’avait pas apprit dans sa minable école qu’il ne fallait pas énerver les vampires ? Nous étions dangereux, plus rapide, plus fort, plus intelligent. Bref supérieur à eux les humains en tout point. Je lissais en elle comme dans un livre ouvert, elle n’était pas si compliquer à comprendre. Se n’était pas l’argent qui l’avait amené dans se lycée mais du talent. Et puisqu’elle chantait bien, je sentais qu’elle prenait les gens de haut, chose qui n’allait pas marcher avec moi.

-NON tu ne peux pas m’aider l’humaine ! Ah si d’une seule façon, en arrêtant de penser que je suis une hypocrite et que tu m’es supérieure, j’ai appris la vie depuis bien plus longtemps que toi ! Tu n’es même pas assez forte pour te faire marquer par un Traqueur alors évite de me gâcher la vie avec tes pensées stupides ! Et si je suis ici, se n’est pas que je suis une petite vampire inutile Léa ! Tu as devant toi la directrice et grande prêtresse de l’école de la nuit, alors je te conseille d’avoir un peu plus de reste à mon égard. Tu as ta vie entre les mains gamines, d’un seul mouvement je pourrais te briser la nuque et tu n’aurais même pas le temps de t’en rendre contre !

Mes prunelles étaient déjà noires, là elles s’assombrirent encore plus. Je voulais sentir la peur dans le corps de l’humaine. Je ne devais pas la tuer, c’était beaucoup trop compliquer de se débarrasser d’un corps. J’avais toujours été à l’écoute de mes proches, il était donc normal quand devenant vampire, c’est une affinité avec l’esprit que l’on m’avait offert. Mais là, cette fille qui n’était même pas une « populaire » comme on dit chez les humains osait me juger de haut, je ne l’acceptai pas. J’étais sur terre bien avant que ses grands-parents ne naissent alors qu’elle ne m’ennui pas. Je pouvais déjà sentir son cou se briser entre mes mains habitués aux meurtres. Elle n’était pas une Killeuse, mes simples mains suffiraient, mon arme ne me serai d’aucunes utilités….

-NON tu ne peux pas m’aider l’humaine ! Ah si d’une seule façon, en arrêtant de penser que je suis une hypocrite et que tu m’es supérieure, j’ai appris la vie depuis bien plus longtemps que toi ! Tu n’es même pas assez forte pour te faire marquer par un Traqueur alors évite de me gâcher la vie avec tes pensées stupides ! Et si je suis ici, se n’est pas que je suis une petite vampire inutile Léa ! Tu as devant toi la directrice et grande prêtresse de l’école de la nuit, alors je te conseille d’avoir un peu plus de reste à mon égard. Tu as ta vie entre les mains gamines, d’un seul mouvement je pourrais te briser la nuque et tu n’aurais même pas le temps de t’en rendre contre !

-Alors sortez de ma tête. Vous ne connaissez pas la liberté de pensée ? C'est pourtant la seule chose qu'il nous reste, jusqu'à présent du moins. Oui, pour moi vous êtes une hypocrite, comme chaque personne dans cette école. Je ne prétend pas vous être supérieur, ne me faite pas dire ce que je n'ai pas dis. Vous voulez me tuer ? Parfait, faîtes le, vous me rendrez un immense service. Maintenant si vous voulez bien m'excusez Grande Prêtresse, j'ai des cours à aller suivre.

Vampire ou pas, les gens étaient bien tous les mêmes ! Pompeux, froids, désagréables, en gros, les égaux mort et assoiffés de sang de nos mortels populaires ici. Je fis volte face et sortis.